A Loandjili, un arrondissement de la capitale économique du Congo, non loin de l’hôpital qui porte son nom, une famille est déchirée à cause de la précocité de leur fille mineure, âgée de 16 ans et en classe de troisième. Elle est tombée enceinte d’un policier sous officier de 52 ans, lequel serait selon le songui songui, son 9e partenaire sentimental. Le policier a reconnu les faits et a pris la responsabilité de la grossesse suite à une entente avec la maman de la mineure alors que le papa optait pour une main dure contre le policier.
Pour justifier sa décision de ne pas traduire e justice le policier fautif, la maman de la mineure a mis en avant sa foi chrétienne et surtout le soucis de voir sa fille accoucher un enfant sans papa. La grossesse étant très avancée, il était presque difficile d’avorter et en plus les croyances de la maman interdit un tel acte.
C’est à l’amiable que tout s’est arrangé et le policier a insisté que la fille lui aurait dit être majeure vu son physique imposant. Mais, dans le quartier, personne n’est étonnée de cette situation. La mineure est connue pour ses frasques sexuelles avec des hommes âgés et d’ailleurs le policier auteur de la grossesse serait son 9e homme.
La dépravation des mœurs s’est tellement normalisée au Congo que des filles mineures préfèrent entretenir des relations sentimentales avec des adultes qui peuvent facilement leur venir en aide financière contrairement aux garçons de leurs âges qui dépendent encore des parents.
Selon une source hospitalière, de nombreux cas des filles mineures et de moins de 20 ans atteintes du VIH sont enregistrés de plus en plus. La dernière en date, une étudiante de 20 ans en deuxième année de licence dans une université privée de Pointe-Noire.
