L’incident a eu lieu le 11 Mai dernier à l’aéroport de Maya Maya à Brazzaville et la société aérienne française Air France, déjà impliqué dans plusieurs incidents de cet type a préféré caché l’information pour se faire bonne image. Son avion de type A330 a raté son décollage et a failli s’empêtrer au mur qui sépare l’aéroport du quartier la frontière. Les passagers ont finalement décollé le lendemain inhabituellement à 17 heures à bord d’un autre appareil.
Les habitants des quartiers proches de l’aéroport de Brazzaville ont surpris de voir l’avion d’Air France décollé de Maya Maya à 17heures, alors qu’il le fait habituellement entre 21 et 22heures. Air France a une de fois de plus mis en risque la vie des passagers au départ de Brazzaville comme il en a pris l’habitude depuis ces dernières années. Sa destination Afrique se dessert avec des appareils parfois ayant des problèmes techniques graves.
L’enchaînement des incidents affectant les appareils d’Air France ne soulève aucunement l’attention des autorités françaises qui sont bien regardants quand il s’agit des avions des compagnies aériennes africaines.
Le dernier en date date à peine de quelques jours à Brazzaville au Congo. Un appareil de type Airbus 330 avec plus de 200 passagers à son bord a raté son décollage à l’aéroport de Maya Maya le 11 Mai dernier un peu vers 22 heures.
L’appareil était arrivé de Paris un peu vers 17 heures assurant la liaison régulière entre les eux capitales. Après avoir saboté en coulisses l’exploit de la congolaise ECAIR, Air France règne en maître sur la destination Congo avec des tarifs exorbitants.
L’appareil qui en ce 11 Mai a pris son élan de Moukondo pour décoller vers Mfilou a terminé sa course au bout de la piste, incapable d’amorcer son décollage à cause d’un problème technique. N’eut été le professionnalisme du pilote, l’appareil se serait retrouvé dans les habitations de l’autre côté du mur au quartier la Frontière.
A l’agence d’Air France, son représentant reste muet sur l’incident et refuse d’apporter des éclaircissements. Débarqués et logés, les plus de 200 passagers ont pu décollé le lendemain inhabituellement à 17 heures pour Paris.