Quand on perd une classe, on sait que cela annonce la mort progressive de l’école. Et quand on perd son école, c’est la mort du village, le début d’un exode qu’on ne peut plus contenir. C’est dans ce contexte que le célébrissime journaliste congolais, Joseph Bitala Bitemo, a fait don d’une école primaire publique complètement rénovée par ses soins dans son village Kimbaoka à Boko Songho 1 dans le département de la Bouenza (sud).
L’établissement primaire construit depuis l’époque de Mathusalem, était devenu vétuste et s’écroulait progressivement sous le poids de l’âge.

Pour pallier la situation devenue inconfortable et insupportable pour tous les élèves du cru, le journaliste et écrivain congolais, Joseph Bitala Bitemo a quasiment reconstruit ladite école en matériaux durables.
C’est désormais des bâtiments en dur que les enfants bénéficieront la rentrée scolaire prochaine.
Par cette politique sociale, le bienfaiteur souhaite inscrire sa démarche dans un mouvement contributif et responsable aux efforts du Président de la République dans sa politique d’éducation et de formation qui veut permettre l’accès de tous les citoyens congolais à un « Smig culturel », car le renforcement de l’école primaire constitue la matrice de l’institution scolaire.
Fils de la contrée, Joseph Bitala Bitemo a fait preuve de générosité traduisant en acte la politique de partage prônée par le chef de l’Etat, Denis Sassou-N’Guesso, en réfectionnant totalement cette école qui commençait déjà à tomber en désuétude.
Des actions sociales de Joseph Bitala Bitemo sont multiples dans la contrée.
On rappelle que l’accès à une école dans un village est un droit fondamental et qu’un manque d’établissement scolaire dans un secteur densément peuplé va à l’encontre des principes d’équité et d’accessibilité. La proximité d’une école favorise l’appartenance, la motivation et la réussite des élèves, alors que l’éloignement contribue au décrochage scolaire.
L’absence d’une école dans un village surcharge les écoles avoisinantes, qui peinent déjà à répondre aux besoins d’une population en croissance, nuisant ainsi à la qualité de l’enseignement. Un exemple à suivre, un geste qui force respect et admiration !