L’instituteur, autoproclamé général d’armées et putschiste unique en son genre dans l’histoire du Congo est devenu le bourreau de l’intelligentsia nationale . Il a réussi où seuls les idiots nagen, à savoir appauvrir tout un pays pétrolier et minier, sacrifier toute une jeunesse pour être ensuite être adoré comme un petit dieu. Rien qu’à voir comment tous ces gens abandonnent leurs morts pour le suivre à Oyo est un exemple malheureusement. Des personnes supposées intellectuelles sortent des muscles pour défendre des idéaux stériles de cet instituteur avant d’être vite confondus par la réalité.
Comment est-ce possible qu’un homme qui n’a même pas un niveau d’études acceptable puisse manipuler des vrais intellectuels à sa guise au point de les rendre aussi bêtes que lui ? Les interventions dans les médias et surtout agissements ont démoralisé les congolais au point où plus personne ne croit réellement à une hypothétique émancipation socio-économique.
Alors qu’il gère un pays de 342.000 km², multiethnique, Denis Sassou Nguesso s’entête à concentrer ses priorités sur son ethnie malgré la succession des échecs. Prendre le pouvoir par les armes a généralement rendu ses auteurs aveugles, idiots et surtout fous à exception près de Jerry Rawling ( Ghana), Amani Toumani Touré ( Mali) et les actuels dirigeant de l’AES.
Au Congo, être au pouvoir n’a aidé Sassou Nguesso en rien sur le plan intellectuel, de la sagesse et du patriotisme. Sassou Nguesso s’en fout que son pays ne ressemble a rien et que sa jeunesse vive sans avenir.
L’école, pilier du réel développement d’une nation a été détruite à escient et le clientélisme a été institué en vertu. Les peuples Mbochis qui n’ont rien à voir avec le comportement sauvage de Sassou se sont vu leurs compétences mises en doute.
Le pays est sous perfusion malgré les boom pétroliers, qui ont plutôt servi à Sassou et entourage de vivre comme des princes. Après 40 ans de pouvoir dans un monde de plus en plus otage du numérique, Sassou Nguesso se plaît encore à être considéré comme un petit dieu et le seul fait de le défier démocratiquement est un crime de lèse majesté.
Des étudiants en grande majorité de son ethnie envoyé à Cuba par exemple ont presque été abandonnés à leur sort alors qu’ils sont la relève. Des décisions d’intérêts publics ( gratuité des pièces d’État civil – césarienne) ont été battue en brèche poussant Sassou à revenir à se décision, augmentant même les prix pré-décret. Une véritable jungle oyosapienne.
Alors qu’il prononce un discours promettant l’émergence 2025 aux congolais, on a vu des intellectuels défiler dans les médias appuyer ce rêve utopique. Ce les mêmes supposés intellectuels qui trouvent encore des excuses à cet échec en 2024 peu avant 2025.
Mais, on continue toujours d’entendre des gens se vanter des capacités de Sassou à développer le pays, d’être l’unique homme de la situation…Comme quoi, l’idiot Sassou a rendu plus idiots ses fanatiques supposés intellos.