C’est sous les effets de l’alcool (Heineken) que Sassou a promis les 100000 emplois utopiques de son année de la jeunesse

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Le ministre perroquet du gouvernement Thierry Moungala vient de révéler aux Congolais le plus gros mensonge de 2024 dont est l’auteur Denis Sassou Nguesso. De façon très diplomatique, Moungala a expliqué qu’il faut être un soûlard patenté pour croire à la création de 100000 emplois au profit des jeunes avec leur gouvernement. Le mensonge auquel eux-mêmes continuent de croire a été prolongé jusqu’en 2026. Des sources internes affirment que lors de cette promesse farfelue, le président de la république était totalement pinté.

Il était plus pratique pour Thierry Moungala de dire la vérité aux Congolais sur ce mensonge de son chef au lieu de chercher des raccourcis qui ne font que les discréditer. Pourquoi prolonger un mensonge en 2026 au lieu de le stopper et s’enfermer dans la bulle maçonnique ayant ôter la honte aux politiciens.

Même les chiens errants dans les rues du Congo savent que ce pays est dirigé par des véritables incompétents qui n’apporteront rien de positif au social du peuple. Mais, ces incompétents continuent de croire en leur rêve enfonçant davantage ce beau pays dans la tombe.

S’il faille énumérer les promesses irréalisables de Denis Sassou Nguesso, ce livre ne compterait pas moins de 1000 pages. Quand au début de l’année 2024, le chef de l’État a lu son discours vide dans lequel il faisait cette promesse à la jeunesse en déclarant de passage 2024 comme la leur, tout le monde en est rigolé. Il était sans doute le seul à y croire contrairement à son propre cerveau.

Le mois d’août vient juste de rappeler au gouvernement que le mensonge de leur chef est entrain d’être démasqué par l’endurcissement du faible pouvoir d’achat des Congolais et surtout le manque d’opportunités professionnelles.9 jeunes sur 10 sont au chômage et ceux qui trouvent un emploi sont contraints de consentir à des sacrifices indécents.

Et comme il en est de coutume dans le clan de l’Alima, c’est toujours un ministre du Sud qui s’affiche devant le peuple pour tenter de défendre leurs imbécilités.