Injustice divine : des catholiques dénoncent les prêtres qui prennent une grosse communion contrairement aux fidèles

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De plus en plus en Afrique on questionne les religions importées et imposées de force lors de la colonisation. Des dérives constatées ici et là poussent à ce questionnement et au regret d’avoir un abandonné la spiritualité africaine. Excédés, les fidèles des églises dites de réveil ont déjà compris le business juteux dans lequel nagent leurs pasteurs. Les catholiques eux par contre reprochent aux prêtres de ne pas appliquer la justice divine dans l’eucharistie. Ils prennent une grosse communion contrairement aux fidèles.

Généralement lors du culte, après la prière prononcée par le prêtre (Prière eucharistique) au nom de l’assemblée, les baptisés sont invités à s’approcher de l’autel pour recevoir le Corps de Jésus-Christ. Mais bien avant, c’est le curé qui ouvre le bal en s’offrant une grosse communion accompagnée du bon vin. Ces baptisés qui s’approchent de l’autel n’ont droit qu’à une petite communion.

Les religions importées et imposées de force aux Africains ne font plus recette depuis qu’une prise de conscience s’installe en Afrique Noire. La jeunesse africaine a compris que le malheur de leur continent est le fruit de la diabolisation de leur spiritualité ancestrale par le blanc.

Pendant la colonisation, l’Européen a fait croire à l’Africain que renoncer à ses croyances ancestrales est une délivrance. Et quand il refusait, il y était contraint de force au risque de sa vie. Bizarrement les masques africains tant diabolisés font la bonheur des européens dans leurs musées.

L’Africain a compris que la Chine s’émancipe le fait de n’avoir jamais renoncé en leurs croyances. Il en est de même pour les Indiens, Asiatiques…Désormais ces religions imposées sont questionnées au point où des fidèles catholiques critiques les prêtres dans l’eucharistie.

« Ils prônent la justice et sont injustes dans la prise de la communion ! Chaque dimanche quand je voyais le prêtre avaler une grosse communion avec du bon vin, j’avais la rage » confie un ex catholique ayant choisi le retour à la spiritualité ancestrale