S’il y a un officier de l’armée Congolaise qui a subi les attaques à domicile de Denis Sassou Nguesso, c’est bel et bien le défunt colonel Matoumouna. Marié à la fille Henriquet avec laquelle il a eu beaucoup d’enfants, il a vu comment Sassou, censé être son beau frère lui a fait la main noire et s’est même permis d’enceinter sa fille Nanou. Un déséquilibré sexuel assidu qui saute tout sur son passage.
La fille Henriquet est la cousine de Denis Sassou Nguesso, mariée au colonel Matoumouna, elle a eu plusieurs enfants dont Nanou. Cette dernière ira vivre à la présidence chez son oncle Sassou Nguesso loin d’elle d’imaginer qu’on devrait abuser d’elle.
Denis Sassou Nguesso, en bon pervers, au lieu de veiller à l’éducation de sa nièce Nanou Matoumouna, fera d’elle sa femme jusqu’à l’enceinter. Irritée, Antoinette la mettra à la porte et Sassou lui trouvera une villa dans la zone de l’Olympic Palace. C’est dans cette villa qu’un jour le chef de l’État a failli être découpé à la machette par le gardien quand il escaladait le mur par amour. En froid avec Nanou, on ne lui décrochait pas le téléphone et le gardien l’a confondu avec un voleur.
Au Camp 15 Aout, où il vivait avec sa famille, ses amis officiers lui ont averti que sa femme sortait avec Denis Sassou Nguesso, mais le colonel n’y a jamais cru. Il ne pouvait pas comprendre que des cousins pouvaient coucher ensemble et il classait ses avertissements dans le cadre de la jalousie et songui-songui. Dans la culture Kongo, cela était diabolique. Le colonel Matoumouna oubliait juste que sa femme était Mbochis et là bas l’inceste est permise.
Denis Sassou Nguesso, va enceinter sa nièce Nanou qu’il a pourtant élevé et qui appelait Mère Antou, maman. Et comme Dieu est tellement juste, l’enfant issu de cet inceste n’a pas survécu.
A l’arrivée de la démocratie, le colonel Matoumouna qui supportait tout va se lâcher et se ranger du côté de Pascal Lissouba. C’est lui qui imposa à Sassou Nguesso de se mettre en rang avant de voter à la mairie de Poto-Poto, poussant Pierre Oba à réagir. C’était pour lui, une occasion de se venger de toutes les mains noires que Sassou Nguesso a opérées dans sa famille. Ce pervers d’Edou a baisé sa femme et sa fille Nanou.
La fixation des Sassou Nguesso sur la famille Matoumouna a fait trois victimes. La maman Henriquet et les deux filles Nanou et Marina. Denis Sassou Nguesso a tiré la maman et Nanou et Kiki a récupéré Marina, qu’il a ravi à son oncle Otto-Mbongo et qui se retrouve aujourd’hui dans les mains de son cousin Juste Mondélé.