Sassou Nguesso et JDO ont-ils été empoisonnés par les Libanais via des badges  ?

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Depuis un moment toutes les autorités ont arrêté d’accrocher sur leurs vestes un supposé « badge » anti coronavirus vendu par les Libanais. Des études ont montré que ce badge contient des produits toxiques et ne rend en aucun cas son porteur inhume face au virus, bien au contraire. Denis Sassou Nguesso et Jean Dominique Okemba, qui s’affichaient fièrement avec ce badge auraient subi des examens approfondis pour déceler un empoisonnement. Des langues soupçonneraient les services secrets français de s’être servi des Libanais, connaissant le haut degré de complexe d’infériorité qu’affichent les autorités congolaises envers tout ce qui vient de l’étranger.




L’apparition de la pandémie du coronavirus au Congo et en Afrique a aussi donné des idées aux Libanais, incapables d’apporter des solutions idoines aux problèmes du Liban, mais disposés à le faire en Afrique.

Alors que l’OMS conseillait le port de masque, la distanciation sociale et lavage des mains comme les uniques solutions face à la pandémie. Les Libanais du Congo se sont inventés un badge anti-corona vendu au prix de 30000frs valable un mois.




Très vite, les autorités congolaises dont la plupart sont des villageois, en marge de la numérisation du monde, se sont empressés  d’acquérir en masse ce badge, et l’affichaient fièrement sur leurs vêtements, croyant être inhumes au virus.

« Pourquoi j’ai décidé de ne plus porter ce fétiche Libanais ou autre équivalent!

Un ami qui s’en est approvisionné en grande quantité, vient d’être testé positif au coronavirus.




Les bras m’en tombent. Moi qui marchais si fièrement avec ce badge en croyant être immunisé contre certaines pathologies sur lesquelles, semble t-il, se greffe le coronavirus. » écrivait un journaliste congolais ayant aussi mordu à l’hameçon des Libanais.

Au Liban même, où la pandémie fait rage, les responsables politiques n’en portent presque pas. Un coup d’œil sur les poitrines de Trump, Macron, Merkel, des dirigeants des Nations Unies…, laisse à penser que ce badge made in Beyrouth est une amulette sans puissance, un fétiche non chargé. Pourtant, les autorités congolaises qui investissent des milliards sur leur sécurité n’ont vu venir le danger, ignorant la composition chimique exacte de ce badge.




Si le premier cercle du pouvoir portait le badge rouge, le reste des Atalakous s’affichaient avec le bleue, comme pour dire «  nous aussi sommes du pouvoir ».

Le Congo n’ayant aucun laboratoire scientifique haut de gamme pour tester la réactivité et la capacité du dioxyde de chlore, agent anti bactérien, que contiendrait cet « fétiche libanais », ils ont réussi à le faire porter à nos Chefs à Brazzaville.

Certains ministres et autorités administratives congolais l’affichent si fièrement sur leur poitrine, pour que tout le monde le voit telle la médaille de Meka dans « Le vieux Nègre et la médaille » de Ferdinand Oyono. Kinshasa, la rive gauche, l’aurait officieusement interdit. Pourquoi ? Pour des raisons ci-dessus évoquées. Depuis, aucune autorité n’apparaît plus avec ça

Ce qui tue les congolais c’est le degré d’aliénation qui a atteint un niveau inimaginable, au point de croire que tout ce qui vient d’ailleurs est meilleur alors que nos étudiants sont dans les mêmes universités et parfois on est meilleur que eux.




On ne comprends pas pourquoi le pays ne fait pas confiance à ses cadres, qui ont

toujours douté de l’efficacité de ce poison emballé dont les hommes forts de Brazzaville se sont goulûment appropriés. Pendant que les dirigeants des pays durement touchés par le Coronavirus s’en passent avec fermeté. Mais comme le Congo est une poubelle, d’où la promotion de ce badge visiblement toxique est une réussite à Brazzaville.