Le PCT, une grosse machine qui a abruti Moungalla et tant d’autres

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Le PCT est une machine d’abrutissement des intelligences ? Les agissements de ses membres en sont la preuve vivante. Nombreux adhèrent dans ce parti pieux et cohérents avant de se métamorphoser négativement.




L’histoire a toujours démontré que l’union fait la force, et unis, les hommes développent leurs capacités de compréhension et d’appréhension. Dieu ne dit il pas que là où plus d’une personne sont réunies sa présence est assurée ? Est il aussi le cas au sein du PCT ?

Quand en 1969 Marien Ngouabi et compagnie créent le parti congolais du travail dans la pensée marxiste léniniste, les ambitions sont de servir le Congo et non de se servir du Congo. Mais très vite ce parti devient le bourreau du Congo contrairement à ses objectifs à sa création. Les intrigues entre membres se soldent par les assassinats, marginalisations, emprisonnements, accusations fantaisistes…




Marien Ngouabi son fondateur est victime de son propre parti dont certains membres abrutis par son idéologie l’assassinent crapuleusement un certain 18 mars à 14h. Depuis la folie s’est répandue à grande vitesse dans toute la sphère du PCT, un parti qui ne sait que vivre du Trésor Public congolais et de l’aliénation de ses membres.

Non content d’opérer en interne, le PCT s’est lancé à copter hors de son champ d’action toutes les sensibilités intellectuelles du pays afin de les abrutir, et les assujettir.

Des personnes qui se réclament intellectuelles qui brillaient par leur farouche opposition au PCT deviennent en un temps record idiotes et truffées d’incohérence une fois membres de ce parti.




On ne peut dans la vie passer à critiquer vigoureusement les agissements d’un parti politique et à les défendre et justifier en une période courte. Ce cas de figure est la cause de l’abrutissement. La vie politique congolaise est devenue comme une pièce de théâtre ou encore une « télénovela » sud-américaine où les volts face sont légions.

Au peuple de retenir son souffle pour éviter des crises d’hypertension « Mais ce n’est pas ce monsieur qui insultait le PCT hier ? »Bien sûr que c’est lui, aujourd’hui il a juste tourné la veste abrutit par le PCT dont le cynisme pousse à faire de ses dénonciateurs d’hier, ses propagandistes d’aujourd’hui. On entend facilement un ministre avant intellectuel et cohérent dans ses pensées défendre à qui veut l’entendre qu’au Congo seul le PCT est capable de diriger.




Si certains intellectuels d’hier sont utilisés par le PCT pour faire le ridicule dans les médias, d’autres par contre plus réservés brillent par leur incompétence et inaction dans le gouvernement. Avec un pouvoir limité et parfois privé du budget de fonctionnement, ils se contentent de jouir des avantages dus au rang d’un ministre oubliant totalement leurs grincements de dents d’autre fois.

« Le PCT est gros piège qu’il ne faut même pas approcher au risque de t’aliéner » conseillait un ministre à un ami désireux d’adhérer ce parti et à la recherche d’un parrain politique.




« Dans le passé j’ai été critique contre le chef de l’Etat, mais une fois à son service j’ai découvert le grand homme qu’il était » renchérit un autre ministre devant les cameras avant de se rétracter en privé en soulignant les limitations de l’homme selon lui fatigué et incapable d’apporter de véritables solutions aux attentes des congolais.