Le Nord est plus peuplé mais tous les propagandistes du pouvoir ne vont qu’au Sud (sous peuplé)

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A l’approche de chaque élection au Congo, on assiste aux sorties médiatiques de tous les flatteurs qui ne vivent que des miettes des ceux d’en haut. Lors du dernier recensement made in Mboulou, miraculeusement le nord du pays s’est avéré être plus peuplé que le sud, mais bizarrement, même la Likouala qui a dépassé le Niari, ne voit jamais les propagandistes du pouvoir venir convaincre les populations. Tous, vont dans le sud sous peuplé ! Parfois, seule réalité rend ridicule un mensonge.




Elvis Okombi Ntsalissan, le jeune Pona Ekolo a visité toutes les villes du Sud pour installer ses antennes et vendre la vision de son autorité morale Denis Sassou Nguesso. A Gamboma, Ollombo, Oyo, Owando, Itoumbi, Ewo, Ouesso, Mokeko, Enyelle etc, il n’ y a jamais mis pieds.

Dans toutes les campagnes électorales, les candidats concentrent leurs efforts dans les régions ou villes les plus peuplées pour rafler le plus grand nombre des voix. Mais au Congo, c’est le monde à l’envers, tous ne vont que dans les villes ou régions sous peuplées. En réalité, ils viennent juste discréditer le gros mensonge de Raymond Mboulou.




Tout le monde sait au Congo que le Nord du pays est non seulement sous peuplé, mais aussi moins attractif économiquement et électoralement. Mais, vu qu’on a des sorciers à la tête des ministères, ils font le « Misso nga » avec des affirmations dilatoires pour justifier leur hold-up.




Ne dit-on pas que la charité bien ordonnée commence chez soi ? Au Congo, le vote est ethnique et régionaliste et tout acteur politique sérieux se devrait d’abord d’asseoir sa base électorale avant de penser piocher ailleurs. Ironie du sort, ils sont toujours originaires du Nord, ces gens qui ne vont qu’au Sud en pré-campagne.




Le dernier en date est le président semi-analphabète du Réseau des patriotes Congolais Léfé Rossy Obia, qui est de la Cuvette, mais qui n’y va jamais installé son machin. C’est au Sud, qu’il a braqué des yeux comme si dans les villes du Nord, il n’y avait pas de patriotes à piocher.