C’est en mars 2025 que la candidature de Denis Sassou Nguesso à la présidentielle de 2026 sera annoncée lors d’un grand meeting de la majorité au boulevard Alfred Raoul. L’actuel président dont la majorité de la population estime qu’il a échoué en tout sauf dans la conservation du pouvoir et l’enrichissement de son clan va rempiler à la tête du Congo. Victime d’un traumatisme généralisé, l’unique espoir du peuple Congolais est le décès de Sassou qui pourra apporter par la suite un changement.
« Si après tant d’années au pouvoir exerçant un contrôle absolu sur l’État, Denis Sassou Nguesso a été incapable d’apporter le minimum au Congo, je ne vois en quoi ses partisans souhaiteraient qu’il continue si ce n’est pour perpétuer leur situation socio-professionnelle ». a réagi un activiste de la société civile congolaise.
En 2026, ça sera juste une formalité sinon les décisions à la tête du pays ont été déjà prises à Oyo et il reste juste à exécuter le scénario. C’est juste pour les élections que le Nord se retrouve bizarrement plus peuplé que le Sud alors quand il s’agit des sujets économiques, même les tricheurs se souviennent que le Sud demeure le rempart en tout.
On assiste de plus en plus aux doléances des Congolais à Dieu pour qu’il rappelle son fils Denis Sassou Nguesso, devenu un vrai virus pour son peuple. « Peu importe celui qui viendra après lui, mais qu’il meurt d’abord ! », c’est ce qu’on entend au sein de la population.