Qui est ce gé­né­ral des FAC et ori­gi­naire de la Cu­vette à qui on a saisi 725 mil­lions eu­ros en faux billets ?

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Dé­cou­verte d’une usine de fa­bri­ca­tion de faux billets d’Eu­ros à Kin­télé, au do­mi­cile d’un gé­né­ral des FAC en com­pli­cité avec les su­jets d’Eu­rope de l’Est.

La ré­si­dence se­con­daire d’un Gé­né­ral des forces ar­mées Congo­laises dont le nom reste en­core se­cret pour des rai­sons d’en­quête est uti­li­sée dans la fa­brique de la fausse mon­naie se­lon une source à ce mé­dia. Plus de 725 mil­lions en eu­ros ont été sai­sis par les en­quê­teurs vi­si­ble­ment aler­tés par un an­cien gar­dien li­cen­cié sans mo­tif ap­pa­rent et n’ayant pas perçu ses droits. Un grand ré­seaux par­rainé par ce Gé­né­ral en com­pli­cité avec trois su­jets Bul­gares.

Tout est parti d’un ba­nale li­cen­cie­ment d’un em­ployé qui as­su­rait la sé­cu­rité de la ré­si­dence ap­pelé com­mu­né­ment gar­dien. Le mo­tif qu’on lui re­pro­chait était son ar­ri­vée tard au bou­lot et il a été viré sans au­cune com­pen­sa­tion mal­gré ses sup­pli­ca­tions.

Blessé dans son amour propre, le gar­dien s’est confié à un ami qui lui a pré­senté à un groupe de bra­queurs avec les­quels ils ont pla­ni­fié un coup dans la ré­si­dence du Gé­né­ral. Mais le manque de dis­cré­tion du gar­dien dans un bar a at­tiré l’at­ten­tion d’un agent de la DGST qui lui a ar­ra­ché les confi­dences.

Le gar­dien a ex­pli­qué avoir as­suré la sé­cu­rité au do­mi­cile se­con­daire d’un Gé­né­ral de l’ar­mée à Kin­télé où les Bul­gares fa­briquent de la fausse mon­naie avec des ma­chines ul­tra mo­dernes. Un ré­seau bien fi­celé qui écoule cette fausse mon­naie sur le mar­ché lo­cal, ré­gio­nal et in­ter­na­tio­nal.

Après une dé­cente des agents de la DGST sur les lieux, ils se sont rendu compte avoir af­faire à leurs su­pé­rieurs et leurs pou­voirs li­mi­tés. Re­cher­ché pour être éli­miné phy­si­que­ment, le gar­dien se­rait en fuite alors que les flics ont été priés de se taire. Le dos­sier a été trans­mis à la hié­rar­chie pen­dant que les su­jets Bul­gares in­ter­pel­lés ont re­cou­vré leur li­berté quelques heures juste après.