Traité de vilain par une employée qu’il draguait, Ya Adou Danga veut la licencier

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Le har­cè­le­ment sexuel en mi­lieu pro­fes­sion­nel est mon­naie cou­rante au Congo à cause du manque d’un pro­to­cole pro­té­geant les vic­times. Les re­cru­te­ments et pro­mo­tion de ca­napé n’étonnent plus per­sonne. Si nom­breuses cèdent fa­ci­le­ment, d’autres par contre font va­loir leur di­gnité. C’est le cas d’une em­ployée de la so­ciété E2C que Dieu a donné une beauté phy­sique in­croyable et que le DG Adou Danga veut à tout prix bai­ser. Elle a re­fusé toutes les avances de ce der­nier jus­qu’à lui a si­gni­fié ne pas être son genre d’homme. Adou Danga me­nace de la vi­rer.

Cer­tains hommes de­vraient face à la réa­lité en res­pec­tant leur lai­deur et ne pas oser avec les filles belles qui rêvent d’un genre d’homme man­ne­quin et beau. Le DG de la so­ciété E2C qui est très loin d’être le genre de ses filles belles mise toutes ses chances sur son titre et son ar­gent. Côté beauté et élé­gance, il est dis­qua­li­fié d’en­trée.

Ya Adou Danga qui se plaît à pu­nir les Congo­lais avec les dé­les­tages vient d’être vic­time d’un gros dé­les­tage et dé­fi­ni­tif amou­reux. Mal­gré sa lai­deur, il a osé néan­moins de faire des avances à une em­ployée de son en­tre­prise qui jouit d’une beauté in­ex­pli­cable.

Après mul­tiples échecs de ses pe­tits à confiance, Adou Danga a dé­cidé de pas­ser lui-même à l’at­taque en in­vi­tant cette em­ployée à un re­pas à l’hô­tel Ra­dis­son ( Ex Mba­mou Pa­lace) croyant l’im­pres­sion­ner. Elle a re­fusé cette in­vi­ta­tion ainsi que toutes les en­ve­loppes d’ar­gent en­voyées par Ya Adou via ses pe­tits à confiance.

Dans un échange franc et lui fixant dans les yeux, l’em­ployée a fait sa­voir à Adou Danga être très amou­reuse de son homme et que lui n’était pas du tout son genre d’homme. Une vé­rité que le DG d’E2C n’ar­rive pas à as­su­mer et prend pour une in­sulte à sa per­sonne alors que tout le monde qui le connaît même à la télé sait qu’il est vi­lain.

Aux me­naces de li­cen­cie­ment, la fille a exigé qu’un mo­tif consé­quent lui soit si­gni­fié et elle ne man­que­rait pas de re­mon­ter l’af­faire au­près de la haute hié­rar­chie. Et comme les DG du pays pensent que toutes les filles sont com­plexées par de l’ar­gent et les voyages, Adou Danga a pro­posé aux der­nières nou­velles un voyage tout frais payé à Du­baï à l’em­ployée suivi d’une pro­mo­tion et aug­men­ta­tion de sa­laire. Elle a dit niet à tout !