Suite à la disparition d’une cargaison d’armes, chaque général a reçu 50 millions de Sassou

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La disparition d’un conteneur rempli d’armes de guerre arrivé au port de Pointe-Noire a crée une forte suspicion entre les membres du pouvoir actuel de Brazzaville. Des fortes tensions ont été notées au point où, depuis Oyo, Jean Dominique Okemba avait rassemblé les notables Mbochis pour se dédouaner et menacer des adversaires. L’auteur du vol de cette cargaison d’armes est toujours inconnu à ce jour et les craintes de son usage survolent le pouvoir. Pour parer à toute éventualité, Denis Sassou Nguesso, aurait selon des sources militaires remis aux généraux des FAC la somme de 50 millions chacun pour ne pas le trahir.




Tout analyste avisé de la politique congolaise sait que le changement n’arrivera que par les armes et non les urnes, et le pouvoir le sait aussi. C’est pourquoi, la militarisation du pouvoir est devenu la priorité principale. Tout Congolais sait que le pays n’ira jamais en guerre contre ses voisins et que l’armement acheté ne sert qu’à mater l’insurrection interne.




Toutes les violations frontalières des forces armées angolaises n’ont jamais reçues de réponse des Congolais, parce qu’en réalité, les FAC ne sont pas faites pour combattre contre un adversaire de leur niveau. Cette armée a été incapable d’anéantir un simple rebelle moins armé qu’est le pasteur Ntumi.

Débarqué au port de Pointe-Noire en incognito, une cargaison d’armes a été découverte et signalée aux services de sécurité avant de disparaître dans la nature lors de son transfert sur Brazzaville.




Depuis, le pouvoir est en alerte permanente craignant une attaque surprise dont l’origine reste une équation. Malgré le semblant de calme qui règne actuellement entre les successeurs de Sassou Nguesso sur cette disparition d’armes, la tendance à la vigilance prime. Denis Sassou Nguesso, aurait donc réuni tous ses généraux pour les interpeller sur leur allégeance et fidélité en sa personne et son pouvoir.




Une somme de 50 millions de cfa aurait été remis à chacun d’eux afin de ne pas être tenté de retourner la veste en s’associant à celui qui serait l’auteur du vol de cette cargaison d’armes.