Emmanuel Macron oblige Sassou à rouvrir les frontières aériennes dans un bref délai




C’est l’ordre que le président français Emmanuel Macron a intimé à tout ses préfets d’Afrique francophones afin de permettre à Air France de reprendre ses dessertes. Au Cameroun Paul Biya a été le premier à lever cette mesure bien que le pays soit le plus infecté d’Afrique Centrale. Denis Sassou Nguesso est sur le point de l’exécuter aussi.Il faut protéger son fauteuil malgré que de temps et temps, il aime vociférer que son pays est souverain.




Déjà, les chefs d’État francophones d’Afrique ont été traîné comme des gamins par la France dans la prise des mesures contre le Coronavirus. Tous, venaient à la télé répéter ce que Macron adoptait comme mesures pour la France. Le plus fidèle d’entre eux étant Alassane Ouattara.

Dans un article que ce média publiait hier sur la décision d’Air France d’annoncer la reprise de ses vols , vers l’Afrique, sans que les chefs d’État ne décident de la levée des restrictions,on prévoyait une capitulation programmée des États concernés.

Comment les peuples africains vont-ils prendre au sérieux le Coronavirus si leurs chefs d’États ne sont que des misérables pantins de Macron ? Des vieillards qui se font manipulés par un jeune de 40 ans. Les intérêts d’Air France sont au dessus des ceux des populations africaines.




La France, l’Espagne et plusieurs pays d’Europe ont décidé de mettre en quarantaine tout les passagers en provenance d’Afrique, continent jusqu’alors épargné par les ravages du Coronavirus. Est-ce que les dirigeants africains feront-ils de même avec les passagers infectés qu’Air France s’apprête à déverser en Afrique ?

Sassou Nguesso, qui est coincé financièrement, est disposé à tout pour séduire Macron dans le but de bénéficier des faveurs monétaires. Le président de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba, a, dans une déclaration, supplier la directrice du FMI d’avoir pitié du Congo et de lui prêter de l’argent en ayant comme excuse la pandémie. Eux, qui n’ont pas eu pitié des caisses de l’État en demandent au FMI.




Air France, qui fait face à des sérieuses difficultés financières vient de bénéficier d’une injection de près de 2 milliards d’Euros de l’État et mise toutes ses chances de récupération sur l’Afrique francophone. D’où les fortes pressions faites par Macron sur les dictateurs de ces pays sur fond de chantage.