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Isidore Mvouba ( Kindamba ) souhaite être enterré à Edou au cimetière des Nguesso




L’actuel président de l’assemblée nationale, a toujours chaque 1er novembre, abandonné ses propres défunts de Kindamba pour accompagner le chef de l’État à Edou, rendre hommage aux siens. Une habitude qui a sans doute influencé sa décision d’être inhumé dans ce cimetière familial des Sassou Nguesso. Isidore Mvouba, pourra-t-il supporter la pression des diables Mbochis ? Wait and see sa mort !




Isidore Mvouba, qui est originaire du département du Pool ( Kindamba ) s’est toujours senti Mbochis. Lui, qui considère Denis Sassou Nguesso comme un demi dieu, souhaite aussi se reposer en paix à ses côtés une fois rappelé par Satan qu’ils servent. C’est la volonté prioritaire de son testament.




Quand Denis Sassou Nguesso, a décidé de se décaper la peau, Isidore Mvouba aussi l’a suivi et les effets sont visibles sur son visage. Contesté par les Mbochis, après sa nomination anticonstitutionnel à la primature, Mvouba, avait reçu le soutien indéfectible de son mentor, qui reprochait aux siens leur jalousie. Sassou a toujours été épaté par le fidélité de Mvouba, qui avait refusé un poste ministériel pendant le règne de Pascal Lissouba.

Dans ce fleuve rempli des voleurs Mbochis, Sassou, a autorisé à son frère et ami Mvouba de se servir comme bon le semble. Un feu vert qu’il n’a pas utilisé pour moderniser son village Kindamba. Pour Mvouba, Kindamba, ne lui sert que pour se faire élire député et rien de plus. Son amour est réservé uniquement à Edou, le village de son frère et ami Denis Sassou Nguesso.

Et c’est là bas aussi qu’il souhaite être inhumé aux côtés de Sassou Nguesso et sa famille. Qui a empêché à Mvouba de construire un cimetière familial à Kindamba ?




Chaque 1er novembre, il est triste de constater comment les membres du gouvernement oublient leurs propres défunts et se ruent vers Edou suivre Sassou. Certains ministres, ne vont même pas se recueillir sur les tombes de leurs enfants, sœurs et défuntes épouses, mais le font sur celles des parents de Sassou. Que la terre d’Edou soit légère à Mvouba le moment venu.

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