En France, l’un des moyens utilisé par les sans papiers pour régulariser leur situation administrative est la reconnaissance de naissance ou achat de grossesse. Pour ce faire, le candidat doit débourser autour de 4000 euros pour se voir déclarer parent français et aspirer obtenir un titre de séjour. Une opportunité qui profite à toutes les couches de la société y compris les parents et maîtresses des ministres en Afrique. C’est le cas d’une des nombreuses maîtresses du ministre Congolais Raymond Mboulou qui s’est fait arnaquer la somme de 4500 euros ( 2 947 000 cfa ) par un jeune Congolais ayant la nationalité française et qui devrait reconnaître sa grossesse.
Dans un Nganda de Paris, ce jeune Congolais se sent heureux d’avoir récupérer l’argent volé du Congo par le ministre pédophile Raymond Mboulou. Grâce à sa nationalité française, il a été approché par l’une des maîtresses de ce ministre enceinte et envoyée d’urgence en France accouchée.
Le ministre Raymond Mboulou s’est spécialisé dans le peuplement du Congo bien qu’ayant un âge très avancé. Après avoir enceinté l’une de ses multiples petites, il l’a envoyé en France accoucher et profiter des avantages qu’offre la métropole contrairement à son pays le Congo.
Les réalités en France étant celles qu’elles sont, un enfant biologique Mboulou peut facilement porter le nom d’un Malonga devenu français moyennant quelques billets de banque. C’est par un intermédiaire que la maîtresse du ministre Mboulou a contacté un jeune Congolais qui a la nationalité française. Le prix de la transaction convenue à 4000 euros, la fille a ajouté un bonus de 500 pour motiver le papa français.
Ces 4500 euros en poche, le jeune Congolais a voulu gagner un peu plus en ramenant dans son lit aussi la mairesse du ministre Mboulou. Une prouesse pour lui de monter sur la même fille que le vieux ministre. C’est après ce refus de cette dernière que le Congolais change d’avis et ne pense plus reconnaître cette grossesse et déclarer l’enfant à sa naissance.
Aussi paradoxale que cela peut paraître, l’achat et vente de grossesse se révèle comme une thérapie salutaire contre le tribalisme, sectarisme et régionalisme. Une panoplie de maux existant dans la diaspora Congolaise de Brazzaville.
Les pères biologiques ne se gênent plus que leurs enfants ne portent pas officiellement leurs noms de familles tant que cela les arrange. Le tribalisme gangrenant la diaspora Congolaise de Brazzaville a été vaincu, poussant les nordistes à accepter que leurs enfants portent les noms sudistes: Malonga, Nkounkou, Bazembizonza, Mabonzo, Poaty ou Makita. Et les sudistes à voir comment leurs enfants se nomment : Okombi, Oko, Morapenda, Ampion.