Pourquoi les homosexuels du Congo ne s’assument pas et se cachent en faisant semblent de se marier aux filles ?

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Au Congo les obscurantistes qui ont pris le pays en otage se sont laissés emporté par les bêtises des loges en opposition avec les valeurs africaines. L’homosexualité a été déclarée comme condition sine qua no à la liberté de piller dans les caisses de l’État ou d’en profiter indirectement. Mais bizarrement, la plupart des PD du Congo refusent de s’assumer et célèbrent des mariages avec des femmes qui deviennent des rideaux de leurs maisons.

Des PD qui refusent de s’assumer mais qui entretiennent une double vie. Aux yeux de leurs proches, ils sont des hétérosexuels responsables avec femmes et enfants au foyer. Mais, dans leur vraie vie, ils ne sont que des PD qui défoncent les fesses d’autres hommes.

Plusieurs jeunes filles qui ont cru que le mariage était le jack pot de leur vie ont vite déchanté une fois au foyer. Elles se rendent compte que leurs époux se sont juste servi d’elles aux yeux de la société. En réalité, elles ont comme  « rivales » des hommes et non des femmes.

Celles qui surprennent leurs époux en pleine action avec d’autres hommes sont nombreuses et parfois gardent silence pour mieux profiter de l’argent de l’homme.Malheureuses, elles sont obligées de se trouver des vrais hommes dehors comme amants. Cette gymnastique amoureuse est aussi à la base de la propagation des maladies sexuelles au pays.

D’autres femmes qui ont des principes finissent par divorcer et tout abandonner pour refaire leur vie ailleurs. Au Plateau des 15 ans par exemple, un jeune couple s’est séparé deux mois juste après leur mariage. La femme a surpris son époux avec son propre cousin entrain de s’envoyer en l’air. Bien que l’homme ait expliqué que c’était une recommandation de la loge pour leur sécurité financière, la femme a quitté le foyer.

Dans les quartiers nord par exemple, des jeunes se moquent de ces PD qui se cachent derrière les femmes en reprochant à leurs épouses de s’être mariée à un homme qui est la « femme » d’un autre homme.