Le ministre Ondongo offre 100.000 euros à une fille métis de Paris pour juste la dire oui

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Pourquoi les autorités congolaises aiment-elles investir tant sur les fesses des femmes ?C’est la question que se posent beaucoup de citoyens au vu de toutes les folies faites par elles auprès de la gente féminine. Ces gens -là gèrent plusieurs foyers grâce à leur pouvoir financier obtenu des caisses de l’État.C’est le cas du ministre Gilbert Ondongo, l’un des voleurs des fonds des générations futures, qui, a proposé 100.000 euros à une fille métis de la diaspora comme préalable à devenir sa maîtresse.




Tout commence sur les réseaux sociaux, quand le ministre Gilbert Ondongo, sous un faux nom découvre les photos d’une congolaise de la diaspora de France. Il en tombe amoureuse et intime l’ordre à ses petits à confiance de faire le travail.




Le ceci selengé du ministre Ondongo découvre que l’un de ses amis commente souvent avec la fille et se rapproche de lui. Bingo ! Ce Congolais affirme être évidemment l’ami de la métis et se voit proposer 10000 euros pour jouer les intermédiaire.

Face au refus de servir comme agent de liaison, le Congolais, qui répond aux abréviations DLM voit commente l’offre augmente à 15000 euros. Stupéfait, il en commente à la fille qui d’un ton ferme rejette cette proposition indécente. Entre temps, à Brazzaville Gilbert Ondongo n’a plus sommeil et réussi à être en contact avec l’une des tantes de la métis congolaise.




Cette tante est remplie des cadeaux et reçoit une somme de 3 millions de cfa pour convaincre sa nièce à devenir la maîtresse du ministre qui promet de la doter. Les échanges entre la tante et la nièce s’enveniment et tournent en rond face au refus catégorique de la parisienne, qui se pose bien des questions. Comment le ministre qui ne l’a jamais vu, peut-il oser parler de dot et offrir autant d’argent ?




Tout porte à croire selon la Congolaise que ces ministres du Congo, francs-maçons sont à la recherche des filles avec lesquelles faire des enfants à sacrifier. Traitée d’idiote par sa tante pour avoir rejeté le ministre Ondongo, la parisienne rétorque être de nationalité française et jouir d’un bon boulot en France, qu’en aucun moment, elle peut être complexée par un ministre du Congo fut-il Ondongo le voleur milliardaire.