Incapables de contrôler les mines du Congo, les Mbochis d’Oyo s’attaquent à Pierre Oba

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Le chien aboie, la caravane passe : Le calme de Pierre Oba dit « Peter » le dernier rempart de Sassou dérange les écuries aux ambitions démesurées et les oiseaux de mauvaise augure de la Forêt et des Caïmans des courbes de l’Alima.

Depuis quelques temps, on observe une agitation fébrile des relais des écuries tapis dans l’ombre visant à colomnier, et à ternir l’image d’un des fidèles du Président Sassou dont la loyauté depuis les années de braise n’a jamais fait défaut

Cet homme officier supérieur de police, grand commis de l’État un des rares qui a sans cesse l’oreille attentif et avisé du chef de l’État est aujourd’hui jeté en pâture par ceux qui aiguisent les ambitions de créer la division entre cadres d’Oyo et d’Olombo dans leur macabre philosophie machiavélique enveloppée autour de l’expression « Diviser pour régner ».

En effet, le but recherché ici ce n’est pas d’accuser maladroitement Pierre Oba, mais c’est de remuer le cocotier que ce dernier représente pour enfin déstabiliser le président Sassou afin de parvenir à leur ultime plan de succession.C’est dans cette optique que les auteurs encagoulés qui avancent cachés ne ménageraient aucun effort pour nuire à la réputation loyale du Ministre Pierre Oba.

Au regard de tout ce qui précède, il sied qui plus est de rappeler aux uns et aux autres que pendant la conférence et lors de la période dite :
du « Manguier le Fleuve et la souris » nombreux qui gesticulent aujourd’hui n’étaient plus dans le navire. Mais Pierre Oba contre vents et marées était présent malgré les pressions morales des régimes Milongo et Lissouba. Seuls les initiés comprendront ce paragraphe susmentionné ci-dessus

Face à l’imbroglio de la gouvernance decriée ici et là , aujourd’hui, des jeunes et vieillards rassemblés au sein des différentes écuries, qui se sont lancés dans une guerre de succession en prenant le contrôle de la gestion du pétrole et des autres secteurs de l’économie du pays buttent à prendre le contrôle des mines.

C’est entre autres l’ une des raisons de l’acharnement inquiétant dont le Ministre Pierre Oba fait l’objet depuis quelques jours sur la toile.
L’Homme au calme olympien dérange, car il s’est toujours comporté comme un Elphant. Un adage dit que l’éléphant est l’animal le plus sage de la forêt, car ce dernier ne répond pas aux taquineries des singes qui lui lancent les branchages sur son dos.

Pierre Oba observe, contrairement aux écuries et nguakatours politiques, il fait partie des gardiens du temple qui ne ménage aucun effort pour préserver l’image du Président Sassou dont il œuvre sans cesse à faire rentrer dans le panthéon de l’histoire.

Témoin des règlements des crises géopolitiques à l’échelle panafricaine, notamment avec le processus de la démilitarisation de l’Afrique Australe, avec l’indépendance du Mozambique et de l’Angola, y compris le processus de l’indépendance de la Namibie et de la fin de l’apartheid. Pierre Oba demeure une bibliothèque que les petits esprits veulent brûler hélas ! Les écuries qui s’en prennent malencontreusement au Général Oba en recourant aux mensonges tenteraient de noyer le poisson dans l’eau ,mais peine perdue pour eux.L’opinion a compris leur jeu.

Accuser Pierre Oba de dissimuler les armes dans une de ses résidences à Oyo est une pure affubulation, un raisonnement ubuesque, quand on sait que Oba ressortissant d’Olobo ne saurait s’aventurer dans un tel scénario hollywoodien. Oba ne pense pas à succéder à Sassou comme ceux qui se cachent derrière les pamphlets qui circulent sur les réseaux sociaux.

Les auteurs de cette calomnie montée de toutes pièces sont en fait aux aboies, du fait qu’ils ne parviennent pas à briser et à cerner le silence de ce grand flic épris des valeurs de loyauté envers la République et envers l’homme Denis Sassou Nguesso qu’il sert depuis sa jeune carrière d’agent de la force publique.

L’homme humble, tel un ruisseau silencieux, contourne les obstacles sans fracas, déposant sur son chemin l’empreinte délicate de sa sagesse, comme une caresse fluide qui façonne l’éternité ,voilà ce qui caractérise Pierre7 Oba ,qui reste calme et concentré en toute circonstance, sans que les contraintes extérieures n’aient prise sur son comportement ou ses émotions,car il sied de le noter la vérité n’a pas de tombe.

Au regard de ce qui précède, notamment face à la calomnie dont est victime le ministre Oba , ne faudra-il pas parfois résister à la calomnie et à la diffamation, à ses intentions de nuire qui passent délibérément par la déformation de l’image d’autrui ? Ne faut-il pas y résister par des actes sociaux, par des actes politiques, par un minimum de résistance publique ? En effet, la calomnie n’est pas seulement un trouble intérieur, c’est un véritable dégât social, une atteinte profonde à autrui et qui peut être pénalement répréhensible, en tout les cas quand elle atteint la dimension de la diffamation. Les moralistes, mais aussi les artistes l’ont bien compris, et par exemple citons Beaumarchais dans Le Mariage de Figaro et l’opéra qui a donné lieu à « l’air de la calomnie ». « Calomnier, calomnier, il en restera toujours quelque chose.