Congo : qui sont les médiocres qui nous dirigent ?

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Le système sassou-nguesso commence a montré quelques signes d’essoufflement depuis l’affaire Hydevert Mouagni, on remarque aussi des distensions internes qui sont de plus en plus visibles, où les prétendants à la succession ne se cachent plus, ils sont regroupés en écurie avant l’affrontement final pour la prise de pouvoir.
Ce qui fait que le système actuel est artificiellement maintenu en vie par certains médiocres que sassou-nguesso a lui-même expressément choisi pour leur manque d’intelligence politique.

Dans ce système de gouvernance, la médiocrité est la condition siné qua non pour être accepté, et nous allons vous livrer quelques détails concernant les médiocres qui entourent le président sassou-nguesso.

  • Zephirin Mboulou, ministre de l’intérieur.

C’est un piètre économiste qui a échoué partout avant d’être nommé ministre, il travaillait à la caisse congolaise d’amortissement sous la direction de Joseph Miokono, où il a détourné plus de 10 milliards de franc CFA, c’est ce que lui a permis de construire quelques bâtiments à mpouya sa ville natale, où il jouit d’une grande notoriété auprès des jeunes qui semble-t-il apprécient ses performances de voleur de deniers publics, c’est grâce au magot volé qu’il a pu réaliser des investissements pour embellir la ville de mpouya.
Si Nul n’avait été l’intervention du directeur Joseph Miokono, ce voleur aurait fini sa vie en prison pour détournement de fond public.

Par ailleurs, pendant la traversée de désert du président sassou-nguesso de 1992 à 1997, il a investi plus de la moitié de l’argent qu’il avait volé pour l’aider à revenir au pouvoir.
Bref, il a été nommé ministre de l’intérieur non pas pour ses compétences, mais pour service rendu à son maître.
Rien ne marche dans le ministère de ce médiocre, parce qu’il passe la plupart de son temps entre les jambes des minettes à la place de faire son boulot. .

-Philippe Obara

Ce prêtre piètre policier n’a ni charisme ni personnalité, il a vu sa carrière décollée grâce à sa cruauté vis-à-vis des congolais.
c’est un véritable médiocre pro-max qui cache ses faiblesses professionnelles et intellectuelles par la terreur envers les populations, même dans de la police, personne ne connaît son histoire, on ne lui reconnaît ni compétences ni qualités professionnelles, sauf à traquer les opposants et les voix discordantes au sein du régime avec sa célèbre chef d’inculpation d’atteinte à la sécurité de l’état.
il a été nommé général pour avoir maté dans le sang les contestations des jeunes pendant le changement de la constitution en 2015.
Il a été formé à Moscou dans les années 80, où il a fait un stage au KGB , il tient le rôle du boucher de Sassou-Nguesso.

-Jean Dominique Okemba.

Voilà un autre médiocre qui a été recruté dans l’armée sans diplôme au grade de caporal, grâce à l’amiral Obouya qui était le commandant de la marine à l’époque, c’est lui qui l’a envoyé en chine pour faire un stage sur le dispositif de radars qui étaient installés sur les bateaux que voulait acheter l’armée congolaise à l’époque, cette opération s’est soldée par un échec parce que les caisses de l’état étaient vides.


Dominique Okemba est incapable de tenir une conversation de 5 minutes en français moyen, il doit son ascension à son oncle sassou-nguesso qui l’avait envoyé comme attaché militaire au Zaïre( l’actuel RDC) avec le grade de sergent, où il a gagné beaucoup d’argent en tant que trafiquant de diamant à temps perdu.
Cet ancien danseur de musique Folklorique a été élevé par son oncle non pas pour ses compétences, mais en qualité de féticheur et de gardien des fétiches.
Le colonel Marcel Tsourou l’avait qualifié de médiocre, justement parce que, c’était lui qui faisait tout le boulot à sa place

-Jean François Ndenguet

Ce policier de carrière a fait ses études en Roumanie.
A la fin de sa formation, il a été incapable de poursuivre sa formation pour devenir inspecteur police, à cause de son niveau d’étude médiocre.
il a échoué plusieurs fois au concours d’entrée à l’école des inspecteurs en france, mais au Congo, il s’est illustré dans le banditisme que dans ses qualités professionnelles en tant que policier.

La police congolaise est constituée en majorité par des voyous et des renégats, il fallait donc un chef voyou pour mettre de l’ordre dans une corporation composée exclusivement des bandits.
Comment voulez-vous que les choses avancent dans un pays dirigé par des médiocres !?

Ainsi va la vie au Congo-Brazzaville. Douleur