A la conférence nationale tout était clair que le PCT n’avait aucune compétencepour bien gérer le Congo et d’apporter le bien être au peuple. Ils ont tout fait pour emmerder le mandat de Milongo d’abord et ensuite de Pascal Lissouba pour revenir au pouvoir par la violence.Aujourd’hui plus que jamais les Congolais ont compris que l’inutilité de ces gens-là qui détiennent quelques 8000 milliards cfa des générations futures dans leurs résidences privées dans le Kouilou et au Nord du pays alors que la population est dans la pauvreté absolue.
La centrale d’intelligence et de la documentation ( CID ) que dirige désormais le magistrat Aristide Okassa a remis sur la table le dossier des détournements massifs et abusifs impliquant toute la classe dirigeante du pays. Denis Sassou-Nguesso aurait piqué une grosse colère en lisant ce rapport que l’ancienne direction de la CID lui a caché.
8000 milliards cfa détournés sont cachés dans les résidences privées des dignitaires dans le département du Kouilou et dans tout le Nord du pays. Il est évident que le général Philippe Obara se faisait payer par ces voleurs pour garder son silence.
Denis Sassou Nguesso aurait selon des sources sécuritaires instruit la CID de faire pression sur les détenteurs de cette fortune afin qu’une partie importante reprenne le chemin du Trésor Public. Carte blanche aurait été donnée à Aristide Okassa à propos.
Des sources à la CID parlent des 14000 milliards des générations futures gérées à l’époque par Jean Jacques Bouya et Gilbert Ondongo sous le parrainage de Jean Dominique Okemba. Ces 8000 milliards proviennent de ces fonds et ont été repartis entre ceux qui les détiennent dans ces cachettes.
Dans le Kouilou, plus précisément à Pointe-Noire et Bas-Kouilou, la CID estime que 2000 milliards y sont gardés. Dans le département des plateaux quelques 1000 milliards ont été tracés alors que le reste des fonds se trouvent dans le département de la Grande Cuvette. Dans le rapport déposé sur le bureau de Denis Sassou Nguesso, il est retracé que 4000 milliards ont été transférés depuis des banques offshore d’Hong Kong, Île Maurice, Singapour et Émirats Arabes Unis vers le Congo et le Gabon via la BGFI et BSCA.