Lentement mais sûrement on se rapproche de 2025, année de l’émergence du Congo comme l’a tant vanté Denis Sassou Nguesso et sa bande des sectaires. En ayant comment idéologie politique le tribalisme, le pouvoir et le PCT qui ne favorisent que les ressortissants de la Cuvette ont aussi accéléré le développement de ce département du Congo qui ressemblera à Dubaï dans deux ans. Si les Mbochis contrôlent tout le pays, il est logique leur département soit le meilleur.
Dans deux ans (2025) le département de la Cuvette n’aura à envier aux Emirats-Arabes Unis et les Congolais de partout y iront passer leurs vacances. Mossaka et Loukolela verront comment les visiteurs vont les comparer à Venise et les élèves n’iront pas à l’école à bord des pirogues archaïques.
Des autoroutes relieront toutes les villes de la Cuvette et on pourra facilement depuis Oyo, aller prendre le petit déjeuner à Makoua, le déjeuner à Owando avant de rentrer dormir à Edou. Avec toutes les régies financières du pays dans leurs mains, les ressortissants de la Cuvette ont aussi lancé les travaux du TGV MBOCHIS avec sa gare centrale à Oyo.
Cette ligne à grande vitesse aura des trajets Oyo-Makoua-Kelle, Oyo-Boundji- Ewo avec différentes bretelles entre des petites localités. Depuis Oyo, les Mbochis pourront se rendre à Mossaka via Tchikapika à bord des bateaux modernes. Entre temps, depuis la France et des capitales africaines, les visiteurs vont atterrir à l’aéroport international d’Ollombo, devenu le principal du pays.
L’argent du pétrole du Kouilou que les Mbochis contrôlent, sert déjà à la construction de la grande université de la Cuvette à Owando. Dans la zone économique spéciale Ollombo-Oyo, des usines poussent déjà comme des champignons à tel point que la Cuvette aura besoin de la main d’œuvre en provenance de la Sangha, Likouala et des Plateaux.
En 2025, les Mbochis n’auront plus à aller chercher la vie à Pointe-Noire et resteront dans la Cuvette qui aura atteint le plein emploi. Le phénomène des femmes seules prendra de l’ampleur dans ce département avec l’instauration des allocations familiales et du RSA.
A la frontière entre la Cuvette et le Gabon, des contrôles seront renforcés afin de contenir le flux migratoire des Gabonais, Camerounais à la recherche d’une vie meilleure à Oyo. Amoureux des excès, chaque habitant de la Cuvette, surtout de l’ethnie Mbochis aura des domestiques, chauffeurs venant d’ailleurs. Une vie sans délestage avec une fourniture d’eau potable permanente.
Mais malgré cette émergence de la Cuvette, les populations du sud vont préférer vivre à Brazzaville, Pointe-Noire, Dolisie et dans leurs départements respectifs.