Il ne se passe plus un jour sans que l’ancien ministre officiel des imaginaires ZES publie ses photos sur les réseaux sociaux. Tantôt, il est à vélo, avec des Kulunas, des Ewawa, et ces derniers temps avec tout ce qui touche de près ou de loin au chef de l’État Denis Sassou Nguesso, dans le seul but de faire pitié et être placé quelque part.Alain Akouala a tout de même le culot à l’instar de tous les profiteurs du système de débiter des bêtises du genre que Sassou Nguesso est l’espoir et une chance pour le Congo, alors que lui-même Alino souffre des délestages et le manque d’eau potable dans son quartier.
Le plus grand mérite du Congo n’est pas sa longévité au pouvoir, mais celui d’avoir rendu idiots et flatteurs beaucoup de diplômés étiquetés tout au moins comme tel. Dans ce lot, on peut citer Alain Akouala, malgré d’avoir été viré sauvagement du gouvernement à deux reprises ne se fatigue pas dans les éloges à la con en faveur de Denis Sassou Nguesso.
Depuis qu’il a choisi le département du Niari et la modeste localité de Kibangou (sud), pour annoncer officiellement sa candidature à la présidentielle du 21 mars 2021, le Président congolais, Denis Sassou N’Guesso, engrange des soutiens issus de tous les courants politiques et du monde de l’entreprise. Pour l’ancien ministre congolais des Zones Économiques Spéciales, Alain Akouala Atipault, cette candidature est une opportunité unique et historique pour bâtir, à partir de la réalité politique, sociale, culturelle, spirituelle, économique et financière actuelle le substrat sur lequel s’érigera le Congo du 21ème siècle.
« La candidature de Denis Sassou N’Guesso à la présidentielle de mars 2021 est une opportunité historique pour bâtir, à partir de la réalité politique, sociale, culturelle, spirituelle, économique et financière actuelle le substrat sur lequel s’érigera le Congo du 21ème siècle », a écrit Alain Akouala Atipault sur son compte Tweeter.
Le chef de l’État congolais, Denis Sassou N’guesso, pressé par sa famille politique, a annoncé, samedi 23 janvier 2021, à Kibangou dans le Niari (sud), sa candidature pour l’élection présidentielle prévue le 21 mars prochain dans ce pays de 5 millions d’habitants, dépendant essentiellement du pétrole.
« Oui, nous nous portons candidat à l’élection présidentielle de mars. Ensemble, nous participerons à la paix pour poursuivre la marche vers le développement », a-t-il solennellement déclaré, promettant que « le scrutin se déroulera dans la transparence ».
L’annonce du Président de la République (77 ans) a eu lieu en marge du lancement des travaux de bitumage de la route Dolisie-Kibangou sur un tronçon qui relie le Congo au Gabon.
Denis Sassou N’Guesso est accusé par ses détracteurs de vouloir passer toute sa vie au pouvoir. Il est arrivé au pouvoir en 1979 avant d’être évincé en 1992 par le candidat élu Pascal Lissouba à l’issue d’élections pluralistes, libres et transparentes.
Il est revenu aux affaires en 1997 après la victoire de ses milices sur l’armée gouvernementale revenu au pouvoir avec l’intervention des forces armées angolaises. Il a été élu président en 2002 et réélu en 2009.
En 2016, il a fait modifier la Constitution pour se faire élire à un troisième mandat.
En mars 2016, face à huit adversaires, Denis Sassou N’Guesso avait marqué son penalty dès le premier tour pour assurer la victoire à sa grande famille politique afin de dérouler la bande de son nouveau projet de société dénommé «la marche vers le développement ».
Mais l’opposition avait refusé le but.
Il est actuellement l’un des plus anciens dirigeants en place dans le monde, cumulant 37 années de pouvoir.
avec lesechos-congobrazza.com