Pointe-Noire : la mairie de Ngoyo refuse qu’un père nomme son 13e fils Baltho Balthasar Makaya

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Le refus de la mairie de Ngoyo a été justifié par la polémique autour de ce prénom suite au performances sexuelles du prodige Equato-Guinéen Balthasar Engonga. « Ce prénom n’est plus bon mon frère, trouves à ton fils un autre pour son propre bien ! » a conseillé un agent de cette mairie à monsieur Makaya Justin venant déclarer la naissance de son 13e enfant. Lui-même se reconnaît en Balthasar et changerait de nom s’il en avait la possibilité, il a eu 13 enfants avec 8 femmes.

Le rêve de Justin Makaya de faire de son fils son valable héritier ne s’est pas réalisé à la mairie de Ngoyo à Pointe-Noire où les agents se sont opposés à ce qu’il nomme son 13e fils Baltho Balthasar Makaya. «  Donc, Balthasar ne te suffisait pas au pointe de lui ajouter encore Baltho ! » s’est étonnée une assistante.

Alors qu’il venait d’être papa pour la 13e fois, Justin Makaya, un commerçant habitant à Mayinga s’est présenté à la mairie de Ngoyo pour faire établir un acte de naissance à son nouveau-né. Une procédure normale qui a vite perdu son sens quand les agents ont vu les prénoms que le géniteur a prévu donner à son fils.

L’assistante qui a reçu le dossier a consulté tous ses collègues et après quelques minutes d’échanges, tous sont décidé à l’unanimité de ne pas répondre favorablement à monsieur Justin Makaya. Les agents croyant ont même fait le lien entre le diable traitant Balthasar de tous sauf d’un ange.

Très remonté, Justin Makaya a accusé les agents d’intromission dans sa vie privée et qu’il ne voyait pas ce que le véritable a fait de mal. Il a rappelé que ce prénom existe bel et bien depuis belle lurette sans attirer l’attention de tous jusqu’à l’apparition des exploits de l’Equato-Guinéen.

Mais malgré cela, les agents de la mairie de Ngoyo sont restés catégoriques sur leur décision de ne pas voir cet enfant porter le nom de Baltho Balthasar Makaya. « Si je lui donnais le prénom de Sassou vous devriez accepter n’est-ce pas alors qu’on sait tout combien le président a foutu nos vies en l’air ! » a conclu Justin Makaya avant de s’en aller.