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Isidore Mvouba transfert son incompétence et fourberie à son fils café au lait Vadim Oset

Dans la logique du grand remplacement, l’actuel président du parlement Isidore Mvouba parraine son fils Vadim Oset dans la circonscription de Bacongo. Ce fils café au lait qui n’a aucune empathie comme son père pour le Pool et ses ressortissants tient néanmoins à être nommé député à Bacongo. Le Mbochis né à Kindamba Isidore Mvouba se moque une fois de plus du peuple du Pool en y plaçant son fils incompétent et voleur comme leur porte parole au parlement qu’il dirige.

Isidore Mvouba est ce Lari qui a détourné des milliards destinés à la construction de l’aéroport de Kindamba, son propre village. Il a aussi émis son vœu d’être inhumé à Edou au cimetière familial des Sassou Nguesso au détriment de celui de Kindamba. Dans Bacongo ou Makélékélé on ne lui reconnaît aucune réalisation d’intérêt public moins encore dans son village Kindamba.

Son café au lait de fils qui est rentré au pays après s’être embrouillé au Maroc a choisi le chemin le plus court de la réussite au Congo, à savoir la politique. Vadim Oset n’a aucune expérience professionnelle si ce n’est la politique qui va faire de lui député de Bacongo, un quartier où il n’est reconnu que par son patronyme.

Comme tout flatteur qui ne vit qu’au dépends des ceux qui l’écoutent, Vadim Oset Mvouba suit l’exemple des cyniques en se lançant dans les actes de charité envers les populations démunies à escient par la troupe de son père au pouvoir. On le voit faire des dons ici et là dans la circonscription de Bacongo où il concourt.

Des actes qu’il n’a jamais posé depuis que son père est dans le système. Mais comme ils ont rendu idiots et pauvres les Congolais, ces derniers l’applaudissent et chantent à sa gloire. Un Russe qui va les représenter au parlement, disons qui se sert d’eux pour avoir une place dans la mangeoire.

En dehors de l’incompétence, des techniques du vol ou détournements des fonds publics, que peut Mvouba apprendre à son fils ? Patriotisme n’en parlons même pas, moins encore l’amour pour Kindamba.

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